Une vieille carte postale de la prise d’eau du tout début du siècle dernier
Une vieille carte postale de la prise d’eau du tout début du siècle dernier.
Pour alimenter, en eau potable, la nouvelle station balnéaire d’Arcachon, en mai 1857, le Maire de l’époque avait envisagé d’utiliser les eaux du lac de Cazaux.
Ce projet n’eut pas de suite. On lui préféra le recours de 2 puits artésiens, à moindre coût. Mais, solution qui s’avéra très vite insuffisante, en raison de l’augmentation rapide de la population.
Sur décision municipale, en 1882, la Cie Gle des Eaux s’engagea à amener en ville, à partir du lac de Cazaux (17 km), un volume de 7 000 m3 d’eau par jour.
A l’époque, le captage s »effectuait à 60 mètres du rivage, à l’aide d’un chenal et d’une chambre de décantation en bois (voir photo)…
En 1897, la Cie Gle des Eaux substitua le ciment et le fer au bois, et reporta 100 m plus au large le captage pour répondre aux exigences de l’hygiène.. Tout dernièrement, le captage fut déplacé beaucoup plus loin encore.
La prise d’eau, telle que nous l’avons connue, il n’y a pas très longtemps, fut un « poste » très prisé par les pêcheurs. Endroit privilégié pour les prises de fritures et carnassiers, par seulement 2 m de fond…
Souvenirs…. Souvenirs…
Une vieille carte postale de la prise d’eau du tout début du siècle dernier.
Pour alimenter, en eau potable, la nouvelle station balnéaire d’Arcachon, en mai 1857, le Maire de l’époque avait envisagé d’utiliser les eaux du lac de Cazaux.
Ce projet n’eut pas de suite. On lui préféra le recours de 2 puits artésiens, à moindre coût. Mais, solution qui s’avéra très vite insuffisante, en raison de l’augmentation rapide de la population.
Sur décision municipale, en 1882, la Cie Gle des Eaux s’engagea à amener en ville, à partir du lac de Cazaux (17 km), un volume de 7 000 m3 d’eau par jour.
A l’époque, le captage s »effectuait à 60 mètres du rivage, à l’aide d’un chenal et d’une chambre de décantation en bois (voir photo)…
En 1897, la Cie Gle des Eaux substitua le ciment et le fer au bois, et reporta 100 m plus au large le captage pour répondre aux exigences de l’hygiène.. Tout dernièrement, le captage fut déplacé beaucoup plus loin encore.
La prise d’eau, telle que nous l’avons connue, il n’y a pas très longtemps, fut un « poste » très prisé par les pêcheurs. Endroit privilégié pour les prises de fritures et carnassiers, par seulement 2 m de fond…
Souvenirs…. Souvenirs…
Commentaires fermés.